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Pour un rédacteur web, un contenu web réussi est celui qui attire les visiteurs à cliquer dessus et à lire jusqu’à la fin. Pour arriver à cet objectif, il doit éviter quelques erreurs qui peuvent être fatales à sa création.
Le ton, les mots clés et la structure
Pour un rédacteur web, il ne faut jamais écrire comme on parle et ne pas écrire dans le même style que pour un journal papier. Souvent, quand le thème parle au rédacteur ou qu’il le juge plutôt simple, il a tendance à oublier cette règle et rédige sans adapter le ton aux internautes. La rédaction web, comme son nom l’indique, doit s’adapter au monde du web. Cela se traduit par un style professionnel, dynamique et direct. Les longues phrases et complexes ne sont pas à utiliser. Pour les mots clés, il est inutile d’en placer à chaque phrase pour rendre l’article pratiquement illisible. S’il est impossible d’échapper aux mots clés, le rédacteur peut aussi utiliser des synonymes. Le résultat est alors un texte fluide, agréable à lire et compréhensible. C’est vrai qu’il faut être bien positionné dans Google mais il faut aussi veiller au « confort » des internautes. La structure de l’article doit suivre un plan préétabli par le rédacteur. L’article « final » doit être bien présenté pour interpeller l’internaute. Le texte doit alors être bien structuré en paragraphes avec des sous-titres.
L’expression et l’orthographe
Certes, il faut bien s’exprimer, mais il faut surtout entrer dans le vif du sujet. Les longues introductions n’ont pas leur lieu d’être dans la rédaction web. L’orthographe est le « cœur » du texte. Le rédacteur qui soigne son orthographe en évitant les fautes sera récompensé par des internautes qui feront confiance à son article. Pour éviter les fautes, il faut bien penser à se relire avant la publication. Quelques pièges sont à éviter. Par exemple pour « et cetera », il faut écrire etc. et non etc… Cette abréviation d’origine latine est suivie d’un seul point, même en fin de phrase. Aussi, les mots formés d’anti ne comportent pas de trait d’union, sauf quand ils sont suivis d’un sigle (par exemple, anti-FMI), d’un nom propre, d’un nom composé ou d’un mot débutant par i. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres de quelques détails qu’il faut voir de près, au risque de « blesser » les plus exigeants des lecteurs.